Débat sur une motion commune pour le deuxième décret

OUI, IL Y A DES CHARLATANTS ET IL Y EN AURA TJS. MAIS FAISONS CONFIANCE AUX PATIENTS. QUAND ILS VEULENT S'ADRESSER À QUELQU'UN POUR ALLER LUI PARLER DU PLUS INTIME D'EUX MÊMES, ILS PEUVENT CONSULTER LA FORMATION DE LEURS THÉRAPEUTES. C'EST D'AILLEURS CE QU'ILS FONT LE PLUS SOUVENT. AINSI, CEUX QUI S'ADRESSENT À UN COACH OU À MADAME IRMA, PLUTOT QU'À UN PSY SÉRIEUX, LE FONT DÉLIBÉRÉMENT, PEUT-ÊTRE NE SONT ILS PAS PRÊTS À PARLER VRAIMENT DE CE QUI LES ANGOISSE.
ON NE PEUT PAS FORCER LES PATIENTS À ALLER VOIR QUELQU'UN DE SÈRIEUX, MAIS ILS EN ONT LES MOYENS, S'ILS LE SOUHAITENT. VOIR TEXTE.
BIEN À TOI,
AL

Bonjour à tous,

Tout d'abord, désolée pour ce long silence de Nice mais des "remaniements internes" ont fait que je ne pouvais me permettre de parler au nom des étudiants.

Nous voilà donc de retour, et je me serais positionnée en faveur de cette motion, bien que je partage entièrement l'avis de Pascal.

Un petit bémole par contre en ce qui concerne la (non) crainte de se voir "piquer" les postes. C'est déjà le cas à l'heure actuelle (je parle dans ma région, ailleurs je ne sais pas), pour obtenir certains postes, et vous l'avez bien précisé, il faudra accepter de se faire payer comme "psychotérapeute" (niveau licence et inférieur) et non comme "psychologue psychothérapeute" (niveau bac+5 et supérieur), sinon, ce sont d'autres qui prendront ces places. Ce n'est peut-être qu'un détail, mais il a quand même son importance me semble-t-il.

Merci pour le travail accompli !